Je vais vous faire ça court ce matin. Le brouillard flottait lourdement sur la rizière et sur les herbes fraîchement coupées. Bientôt, le train pour Tokyo, rempli de banlieusards en route vers le travail, en jaillirait pour s’y engouffrer de nouveau juste un peu plus loin.
Vous pouvez laisser un commentaire anonyme (ou pas) en cliquant sur « Post » (pas besoin de se connecter avec « Log in »).