Otowabi

Mon bipède a rongé son frein (et le mien du même coup) cette semaine, le boulot l’empêchant de me chevaucher, ne serait-ce que quelques dizaines de minutes par jour pour garder la forme. Puis, vendredi après-midi, une petite éclaircie a surgi dans la charge de travail et nous étions enfin tous les deux dehors, lui pédalant, moi jubilant, tous deux rayonnants, sans oublier le soleil qui rayonnait tout autant.

Rien de gigantesque comme sortie, juste un petit 45 minutes dans les environs immédiats, pour aller saluer les hérons… au village des cigognes, avant que le soleil ne sombre en tirant la journée écoulée derrière lui. Petite donc, cette sortie, mais frénétique, en mode salive de chez Pavlov.

Au retour à la maison, il lui a trouvé une musique de circonstances, celle d’Otowabi.


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